Douarnenez – França
Um artivista indisciplinada.
Yuna tinha 19 anos quando alinhou nove horas de mixagem ininterrupta em um bar do porto, A l’Abri du Vent, na Bretanha, em Douarnenez. A tempestade sopra nas cabeças. É o tipo de festa que não quer parar, que continua e fica com você por muito, muito tempo depois. Nessa noite de carnaval, Yuna se torna Wonderbraz, um DJ conversador… Yuna viaja e traz consigo música, amigos e abacaxis. Na volta, ela deixa as pessoas ouvirem, ela deixa as pessoas provarem. Perguntamos a ele: O que é isso?… Ha! Ha! Adivinha…
Yuna se torna DJ, uma mulher rara onde os pequenos ou grandes são reis, de quem ela está constantemente à frente, porque tem um duende particular, esse tipo de instinto raro, essa amplitude de sensibilidade e gosto, essa capacidade de singularidade da alteridade, sem enganos, sem alarde, apenas com a verdade verdadeira de quem busca o outro, os outros, até a medula, até os ossos, até o coração.

Ela joga pingue-pongue musical com Sal Ricalde, de Tijuana, no Dizzy Sound System, ou faz mixagens com o cinegrafista Thierry Salvert. Com Erik Marchand, um cantor que escuta o mundo, ela está se divertindo muito e isso fica evidente quando eles tocam música oriental no máximo.
Wonderbraz também é temático sob medida, para um evento, um festival. Na verdade, tudo é desculpa para ir pescar músicas inesperadas. Wonderbraz tira as pessoas da bolha. Wonderbraz tira as pessoas dos suéteres. Wonderbraz pode tocar puro techno, hip hop, rock, além de levar a barca para uma viagem, de barco, para o Brasil, África, Turquia, Romênia…
Instant + / DJ wonderbraz
Dj Wonderbraz L’instant + du mardi 17 septembre 2019 Tébéo Tv Journaliste : Sophie Le Croizier
Wonderbraz @ Festival Les Insulaires
Wonderbraz @ Festival Les Insulaires (21/09/19) Prise de vues : Liza Guillamot Images additionnelles : VJ Badgreen Montage : Vlad Booking : leila@tartine-production.com https://tartine-production.com/artist… https://wonderbraz.com VLAD/2019 www.vladproductions.fr
Wonderbraz “Quand les femmes font danser le monde”
Les Arts dînent à l’huile






L’OBS
CULTURE
“Les Arts Dînent à l’Huile” façon Brésil
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Le festival “Les Arts Dînent à l’Huile” de Douarnenez prévoit du 29 au 31 juillet la “découverte d’un autre Brésil”, avec du Hip hop des favelas, percussions et sons électroniques.
Par L’Obs
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Publié le 09 août 2005 à 07h38
Temps de lecture 1 min
Le festival “Les Arts Dînent à l’Huile” de Douarnenez qui débute vendredi 29 juillet aura cette année pour invité Barra do Jucu, petit port de l’Etat brésilien d’Espirito Santo, pour une “découverte d’un autre Brésil”, selon les organisateurs.
Après Essaouira (Maroc), Marseille, Sétubal (Portugal), Saint-Louis (Sénégal), le festival de la petite cité sardinière propose notamment pendant trois jours pour sa 8ème édition une découverte du Hip hop des favelas, avec percussions et sons électroniques.
Parmi les têtes d’affiche, Silvério Pessoa et un hommage au forro, culture populaire des chants et danses des travailleurs, dans une composition qui ne néglige pas les influences hip hop, rock et électro.
Le groupe Z’Africa Brazil, valeur montante de la nouvelle scène rap brésilienne évoquera les problèmes “d’une jeunesse défavorisée, coincée entre la répression policière et les tout puissants trafiquants des favelas”, tandis que la chanteuse Renata Rosa à la rabeca (violon brésilien) interprétera tantôt des compositions originales tantôt des musiques populaires.
Sur les traces de la sardine
La Bretagne sera représentée par le groupe de reggae de Douarnenez FDB, trois filles du bord de mer accompagnées par les musiciens du collectif Penn Ar Dub pour un reggae au son de l’accordéon sur des airs de gavotte.
Festival pluridisciplinaire, mêlant musiques actuelles et traditionnelles, arts de la rue et spectacles jeune public, cirque et danse, projections et expositions, les “Arts dînent à l’huile” proposent depuis 1998 de naviguer sur les traces de la sardine et de l’imaginaire qui l’entoure.
https://www.nouvelobs.com/culture/20050727.OBS4519/les-arts-dinent-a-l-huile-facon-bresil.html
Les Arts Dînent à l’Huile brésilienne
Publié le 27 juillet 2005 à 00h00
festivalDe vendredi à dimanche, l’association Les Arts Dînent à l’Huile présente son festival d’été à Douarnenez.
festivalDe vendredi à dimanche, l’association Les Arts Dînent à l’Huile présente son festival d’été à Douarnenez. Elle poursuit ses échanges culturels avec d’autres ports sardiniers du monde. Cette année, c’est Barra do Jucu, au Brésil, qui est à l’honneur.Après Essaouira (Maroc), Setubal (Portugal) ou encore Saint-Louis (Sénégal), c’est au tour de Barra do Jucu de répondre favorablement à la petite annonce douarneniste : «Port sardinier breton invite port sardinier du monde». Barra do Jucu est un petit port brésilien de l’Etat d’Espirito Santo, à l’écart des grands circuits touristiques mais riche d’une vie culturelle intense. On en prendra la mesure de vendredi à dimanche à Douarnenez où Barra do Jucu dépêche une délégation d’artistes. Quelques-uns de leurs compatriotes actuellement en tournée en France à l’occasion de l’année du Brésil, des artistes d’ailleurs (Bénin notamment) et de Bretagne complètent ce huitième plateau estival concocté par l’association des Arts Dînent à l’Huile. Ses membres démontrent une fois de plus qu’ils restent fidèles à leurs principes édictés dès 1997 : « Promouvoir des rencontres culturelles originales, fondées sur l’échange, la découverte et la diversité à travers des événements festifs et tout public». Le coeur du festival va battre sur le port du Rosmeur.
Vendredi 29
De 19 à 22 h .- Soirée d’ouverture avec repas brésilien et concerts gratuits des formations suivantes : Banda de Congo.- Elle vient de Barra do Jucu populariser le congo, un mélange de percus africaines, de chants portugais et de rythmes indiens. Fanfare Eyon’le.- Le big band de cuivres et percussions béninois mêle rythmes africains et musiques brésiliennes. Il interviendra pendant les trois jours du festival. Mandala Sextet.- Les musiciens de Redon brassent trad’, jazz, groove et hip hop. Zé Maria.- Rock et électronique sont les guides d’un voyage actuel à travers les musiques brésiliennes. Avec la chanteuse Sanny Lys.
Samedi 30
Animations de rue le matin et marché des arts mélangés l’après-midi. Le site payant du festival sur le port ouvre à 15 h et propose : 15 h.- Pipoca (contes brésiliens pour enfants), Sergio Torrente (un Brésilien manipulateur d’objets) et des Dj’s à Lolotte. 15 h.- Ateliers d’arts plastiques et spectacle clownesque de théâtre-cirque avec la compagnie brésilienne Circo Teatro Capixaba. 18 h.- Sur la scène en plein air : Trio Vira Lata.- Le groupe de Sao Paulo balance entre jazz, choro et musique contemporaine. Fanfare Eyon’le.- Voir vendredi. Scotchy Dub.- Le quatuor brestois défend un électro-dub puissant et énergique. 20 h 30.- Sous le grand chapiteau : Terra Musical.- Le Trio Vira Lata et le trio breton Kej cueillent le fruit sucré et juteux de leur rencontre-création, passerelle solide et colorée entre leurs deux cultures. Silverio Pessoa.- Le Brésilien rend un hommage moderne au forro, ce style des bals populaires enflammés du Nordeste. Il immerge les chants et danses des travailleurs dans des influences hip hop, rock et électro, héritées du mouvement mangue-beat. Z’Africa Brasil.- Hip hop à la mode de Sao Paulo. Dj Blue.- Le Breton mixe breizh’n bass et samba jungle.
Dimanche 31
Le marché des arts mélangés rouvre de 14 h à 22 h. 15 h.- Le site payant du festival devient accessible. Lolotte et l’Espace Enfants y accueillent les mêmes animations et activités que la veille, avec en plus un stand de maquillage pour les plus jeunes. 16 h 30.- Sur la scène en plein air : Trans@t lance un bal forro tout en prodiguant des cours de danses aux amateurs. Voltair.- Les Dj’s résidants de la Favela Chic offrent leur relecture du son brésilien. 18 h.- Carnaval ! Dans la ville des Gras, le défilé s’annonce grandiose avec, en piste, la Batucadouarn’, Vitor Lopes, Marcelo Costa, des danseuses brésiliennes en tenues de circonstance, des marionnettes, « Cavalo Marinho»… 20 h 30.- Sous le grand chapiteau : Renata Rosa & Zunito Da Mata.- La formidable chanteuse et ses compagnons font tanguer la samba de coco. FDB & Djambi.- Une autre rencontre-création Bretagne / Brésil. FDB, ce sont trois filles des bords de mer qui viennent de remporter le tremplin des Jeunes Charrues ce week-end à Carhaix. Les musiciens du collectif Penn Ar Dub apportent leur contribution à leur reggae iodé et cuivré aux reflets de gavotte. Les Brésiliens de Djambi s’expriment eux aussi à travers le reggae. Ils lui donnent naturellement des accents de samba. La fusion des deux groupes promet de faire chalouper le public. Surdo Reyes.- Dj Sony et ses percussionnistes toulousains vous invitent à partager la «Samba Funk Experience».
Et aussi
Nombreuses animations éclatées (dont de la sérigraphie sur crêpes…) pendant toute la durée du festival. Des expositions sont également au programme des Arts Dînent à l’Huile : «Regards Nordestins» de la photographe Sandrine Landais à La Friche (02.98.92.26.85) jusqu’au 31 juillet ; «Images et significations de la pêche à la sardine dans l’Etat d’Espirito Santo» jusqu’au 12 août dans le hall de la mairie.Douarnenez (29) Les Arts Dînent à l’Huile vendredi 29 (gratuit), samedi 30 et dimanche 31 juillet (un jour : 12 ; forfait deux jours : 20 ; gratuit pour les moins de 12 ans). Rens. 02.98.92.27.13. Site internet : www.lesartsdinent.com
https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20050727&article=10378828&type=ar
Critique
A Douarnenez, les Arts dînent à l’huile à la sauce tropicale.
Pour sa 8e édition, le festival breton a invité un port de l’Etat d’Esperito Santo et des fleurons de la scène alternative brésilienne.
par Pierre-Henri Allain
publié le 1er août 2005 à 3h10
Douarnenez envoyé spécial
Fidèle à sa tradition, le festival des Arts dînent à l’huile de Douarnenez, pour sa huitième édition, s’est de nouveau révélé à la fois décalé et pertinent. En cette année du Brésil, le port sardinier breton avait invité son homologue de Barra Do Jucu, petit port de l’Etat d’Esperito Santo, entre Bahia et Rio de Janeiro.
Ukulélé branché. Cela a été surtout l’occasion de présenter quelques fleurons de la scène alternative brésilienne, entre tradition et modernité. Mélangeant les rythmes traditionnels du forró, cette sorte de rock rural du Nordeste magnifiant le quotidien des coupeurs de canne à sucre, au hip-hop et aux musiques électroniques, Silverio Pessoa, entouré de cinq musiciens, s’est ainsi montré sur scène d’une redoutable efficacité. Entre accordéon, cavaquinho, cet ukulélé branché sur pédale Wah Wah, basse à six cordes et sampler diffusant des bouts de chants de maîtres du forró, cet ancien adepte du mangue-beat installé à Recife, n’a eu aucun mal à conquérir son public.
«Nous faisons partie de cette nouvelle scène qui montre que le Brésil, ce n’est pas seulement la samba et Rio de Janeiro, résume l’intéressé. A Recife, elle se développe car c’est un endroit où se croisent tous les courants culturels du pays. C’est aussi un point de confluence de différentes migrations et nos chansons parlent de cela, d’un peuple essentiellement rural qui s’urbanise et est en pleine mutation.» Sous la toile du grand chapiteau dressé au bout du quai du port de Rosmeur, où sont amarrés les derniers bateaux sardiniers de Douarnenez, Silverio Pessoa, avec ses allures de Frank Zappa période Mothers of Invention (il a d’ailleurs dédié l’un de ses albums au compositeur californien) passe allégrement d’une ambiance de bal rural, au rap le plus débridé.
Avant lui, c’est un autre aspect de ce festival initiateur de rencontres qui était mis en valeur avec la prestation de Terra Musical, mélange de musiciens brésiliens et bretons, spécialement réunis pour l’occasion. Ou comment marier une marche bretonne avec des rythmes d’outre-Atlantique, un air de gavotte et les accents d’un harmonica venu de São Paulo.
Sérigraphie sur crêpes.
Les Arts dînent à l’huile, toutefois, ce n’est pas seulement de la musique. Mais aussi des contes, des spectacles pour enfants, un manège, une impayable dame-pipi et sa «vater-caravane», les performances les plus étranges (de la sérigraphie sur crêpes !) ou des créations plastiques inédites.
Venu de Barra do Jucu, Sergio Torrente, artiste multiforme, s’est ainsi investi durant quinze jours à Douarnenez pour rassembler toutes sortes de matériaux de récupération et réaliser, avec des enfants et des plasticiens, des personnages fantastiques réunis dans un éphémère «musée de la marionnette». Où l’on a pu voir entre autres une femme avec une tête d’aspirateur et son compagnon avec un grille-pain en guise de bouche.
Tout le festival, avec ses moyens modestes (180 000 euros de budget), est d’ailleurs un peu à cette image : réalisé avec trois bouts de ficelle, mais beaucoup d’énergie et d’inventivité. Parfois franchement foutraque, mais aussi pointu.
Mixant bossa nova, jungle et airs traditionnels, la prestation de DJ Blue, une jeune artiste bretonne à qui l’on doit l’invention du concept de «Breizh’n’Bass» était encore là samedi soir pour le prouver, tandis qu’on attendait dimanche, en clôture, le concert de Renata Rosa, pendant féminin et nordestin de Silverio Pessoa.
Teratome à douarnenez, les arts dînent à l’huile
Publié le 1 août 2005 par Teratome
Lundi !
Retour inévitable du début de semaine,
retour morose au statut d’esclave rémunéré pour les uns,
retour à la glandouille forcée mais salvatrice pour moi.
Une galette de Sizzla dans le lecteur,une Fischer, un décongestionnant neuronal.
Retour au blog !
Le week-end s’est déroulé au festival ” les arts dînent à l’huile ” , à Douarnenez ( Finistère ).
La baie de Douarnenez, site magique,porte-étandart de la bretagne éternelle.
Pays de légende,certes,mais affligé d’un climat résolument hostile.
Ciel bas et gris, alternant entre averses et éclaircies au grés d’un vent froid et persistant, a quelque peu gâché mon plaisir.
Le festival, donc, qu’en dire? …
…Rêverie, High Tone? 3ème Fischer, 2ème catalyseur cérébral.
Ma chienne pleurniche !
Lui donner ses médocs pour les grossesses nerveuses!
Putain je m’égare, il faut que je recentre sur le festival.
Des pâtes ça te va? ( Laure?ma femme ).
Ouais si tu veux !
Sera jamais finit cet article sur ” les arts dînent à l’huile”.
Bah ! m’en fout, suis pas chroniqueur, un festival est un festival!
Tout le monde sait ce que c’est. …

…Pas terrible la programmation.
Fallut attendre minuit-une heure por que ça bouge !
D’ailleurs merci Scotchy Dub ! coup de coeur de la soirée, de la pure balle,indicateur de pêche au max! genre High Tone, un brin de hard-core en plus.
Bravo aussi à Fanfare Eyno’nle pour leur plaisir manifeste à être sur scène, pour leur musique festive et communicative ( cuivres et percussions qui nous viennent du bénin ).
Tiens ! finalement suis revenu au festival.
Bon pas la peine de parler des vigiles,de la volonté afficher que l’on consomme uniquement l’alcool acheté sur le site , de la mauvaise organisation.
j’balance les prisent avec la cam.
Pis c’est tout.
A +
Sortez chargé !!!!!!!!!!!!!!!!
http://teratome.over-blog.net/article-653763.html









